Un traitement expérimental, créé par les médecins d'un hôpital de Rome, pourrait être le salut pour le petit Denis. Les investigations, les interventions chirurgicales, les traitements ultérieurs sont gratuits, étant couverts par l'État italien. Cependant, la famille Nițu a besoin de 17 000 euros pour les dépenses quotidiennes - loyer, transport, nourriture, produits d'hygiène - pour une durée indéterminée.

Tout a commencé il y a deux ans et demi avec un simple mal de gorge. Combien de bébés ne prennent pas froid ou ne font pas de fièvre ? Cependant, les symptômes s'aggravaient chaque jour, malgré les traitements habituels recommandés par le médecin de famille. Elena et Nicu ont emmené leur petit à l'urgence. Après de nombreuses investigations médicales et de nombreuses nuits blanches passées à l'hôpital, le diagnostic est tombé : le syndrome de Chédiak-Higashi.

Nous parlons d'une maladie rare et extrêmement grave qui affecte tout le système immunitaire, le rendant vulnérable aux infections et aux complications. Avec une espérance de vie moyenne de seulement deux ans pour les patients atteints de cette affection, les parents sont confrontés à un avenir sombre. Avec le cœur lourd de peur et d'incertitude, ils ont décidé de ne pas abandonner et ont cherché des solutions à l'étranger.

"Nous avons choisi l'Italie car c'est le seul pays qui a accepté d'essayer une expérience, un traitement récemment découvert dont l'efficacité n'a pas encore été testée. Les coûts s'élèvent à plusieurs millions d'euros, heureusement nous ne payons rien, car c'est une expérience. Si nous parvenons à passer par toutes les étapes présentées par les médecins spécialistes, il y a de réelles chances que Denis guérisse. Il a déjà dépassé les attentes des médecins, la plupart des enfants atteints de son syndrome ne vivent pas plus de deux ans. Sans traitement, les organes de Denis se désintègrent. Sans traitement, mon enfant peut mourir à tout moment", a raconté Nicu, le père de Denis, les larmes aux yeux.

Dans l'obscurité de ce voyage, l'Association "Sauvez un cœur" leur a tendu la main. Elle a lancé une campagne de collecte de fonds et a déjà payé une petite partie des factures de la famille.

"Nous avons beaucoup de difficultés financières. Souvent, nous ne mangeons qu'une fois par jour pour économiser. Pour le moment, nous n'avons plus que 400 euros", nous a confié Nicu.

En raison du stress et des soucis, l'homme a fait un préinfarctus il y a quelques mois. Heureusement, les médecins sont intervenus rapidement et le jeune papa peut continuer à s'occuper de son petit garçon si éprouvé par le destin.

"Je dois m'occuper de tout. Je me sens souvent dépassé et cela s'est reflété dans mon état de santé. Je dois aider ma femme aussi, car elle ne peut pas se débrouiller seule. À cause d'un accident survenu dans son enfance, elle a une semi-paralysie. Ce n'est pas facile avec autant de problèmes médicaux et financiers."

"Avec notre générosité et notre compassion, nous pouvons être aux côtés de cette famille dans leur voyage de douleur et d'espoir. Pour Denis et ses parents, chaque jour est un combat, mais aussi une opportunité de célébrer la vie et l'amour qui les unit. Chaque don compte, chaque forme d'aide soulage une partie du fardeau des parents éprouvés et leur redonne espoir" - Vlad Plăcintă, président de l'Association "Sauvez un cœur".

Pour les dons des entreprises, veuillez accéder à : https://salveazaoinima.ro/denis-nitu/

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